mercredi 13 mai 2009

Ce qui est fait n'est plus à faire

Un ouragan de bonheur m'a transportée aujourd'hui lorsque j'ai rangé mes affaires, déposé les exemplaires de Primer Acto sur le chariot des documents consultés, et mis le pied hors de la salle des périodiques du campus de l'UAB, qui a été un peu comme ma seconde maison ces derniers temps.
Cela faisait 3 semaines que je fréquentais cette salle, 3 semaines non stop (dont 2 week-end!), 10 jours que je rédigeait mon mémoire, il était temps que tout ça s'arrête ! Je suis plutôt naze, mais aussi très fière de moi. Très fière, oui, parce qu'il y a de ça quelques mois j'étais tellement déprimée par ce mémoire que j'avais même pensé à abandonner...! Je suis donc fière de ne pas avoir laissé tomber et d'avoir parfaitement géré mon temps. Oui, je me lance des fleurs, un peu (il faut bien de temps en temps), mais bon, un mémoire de 80 pages ce n'est pas rien.
Je ne peux pas tellement juger de sa valeur, les professeurs me le diront, mais après tout peu importe, je l'ai terminé, et le rendrai dans les temps. Plus que quelques détails de mise en page et ce sera dans la poche ! ;-)
Pour ceux que l'analyse de la situation théâtrale en Espagne en 1968 et 1969 par la revue Primer Acto intéresse je serai ravie de vous fournir la version pdf héhé !!

C'est donc avec joie que je vais rentrer en France demain, non pas pour la météo radieuse qui m'attend (vive Barcelone !!), mais bien pour achever le long processus qu'aura été la "ponte" de ce mémoire !

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